top of page

      Des scenarios      

Les enfants sont dans une grande ville qui entre dans la guerre avec l’Espagne. Les policiers emmènent les enfants dans une cave profonde (avec eau, nourriture,…) pour les protéger de la guerre. Une fois qu’ils n’entendent plus de bruit, ils sortent voir s’il y a des rescapés. Il n’y avait personne sauf un ou deux chats. Mais très vite, ils se rendent compte qu’ils sont entourés par du feu. S’ils n’éteignent pas le feu, ils vont bruler.En explorant la ville morte, ils trouvent la caserne des pompiers et décident de prendre la lance à eau pour essayer d’éteindre le feu. Ils réussissent à éteindre une partie du feu. Après cinq minutes de marches, une immense forêt, ils commencent à s’inquiéter.

.A., M., I.

Une colonie de vacances qui part en Jamaïque dans un avion. Pendant le voyage, il apparut des turbulences, l’avion se crash.

Sur une île déserte.

Seuls les enfants ont survécu. Les adultes et le pilote sont morts. (les enfants ont sauté en parachute et se sont dispersés sur l’ile). Par chance, un enfant retrouvé dans sa poche une base et mis une chanson le plus fort possible pour savoir s’il y avait d’autres personnes sur l’ile. Aux alentours, les enfants accourent vers celui qui a mis la chanson. Quand les enfants sont regroupés, ils font un point et choisissent leur chef.

Un clan de fille et un clan de garçons font la guerre (chanson : Beyonce run the world (Girl’s))

S., R., A.

Des enfants américains, de 12 à 16 ans du collège de New York, New school, partent en colonie en Amazonie. Ils se font accueillir chaleureusement et s’installent dans des cabanes. Le lendemain, alors qu’ils explorent l’immense forêt avec le professionnel et les adultes, ils se font attaquer par des tigres qui mangent tous les adultes. Certains enfants survivent, d’autres meurent dans les griffes de ces atroces bêtes. Les enfants, ne retrouvant pas leur chemin, se virent obligé de se débrouiller pour construire des cabanes et se nourrir (les plus petits allaient chercher la nourriture et les plus grands construisaient les cabanes.) Certains enfants moururent empoisonnés en voulant manger des baies qui étaient toxiques. Puis les enfants restant montèrent une société « parlementaire Â» où chacun avait le droit à la parole. Mais les plus petits étaient tout de même ignorés. De ce fait, ils ont créé deux clans : les plus petits et les plus grands. Les grands assassinent les plus petits et furent retrouvés par un groupe de recherche.

A., H., C.

L’histoire se passe en hiver 1944 à la frontière allemande, dans une ville française qui se fait bombarder. Bizarrement, tout le village est mort sauf dix enfants âgés de 10 à 16 ans.

Les enfants vont se réveiller sous un nuage de cendres. On entend crier leur dix prénoms : Jacques, Henry, Pierre, Michel, Pascal, Sébastien, Peter, Billy et les deux filles du groupe  Jeanne et Elisabeth !!! Tous sont sains et saufs. Le plus âgé, Pierre, dit « il faut qu’on essaye de de rejoindre Paris. De là, je pourrais annoncer la triste nouvelle Â». La plus jeune dit « Pourquoi n’essayons-nous pas de contre-attaquer les allemands ? Â». Billy dit « Ecoutons le plus âgé et rallions Paris Â». Le reste du groupe dit « Tous vers Paris !!! Â».

Et de là commence le début d’une longue marche cers Paris à travers les forêts.

Au bout de 6 mois de marche, la faim commence à se faire ressentir et les tensions montent. Billy dit d’une voix tonnante « J’en ai marre ! Je rentre en Alsace ! Ca fait six mois qu’on marche et on n’est toujours pas à Paris ! Tout ce qu’ils veulent, c’est rentrer avec moi. Suivez-moi ! Â». Seul Michel, Pascal, Sébastien, Jeanne et Elisabeth partent avec Billy. D’un geste brusque, Pierre sort un pistolet et le braque sur Billy. Pierre leur dit «  Soit je te tue et je pars avec tout le monde ou ton clan contre le mien. Â» Billy se prépare à la seconde option. Pierre tire sur Billy qui tombe au sol. Malheureusement les coups de feu se sont fait entendre par les soldats qui les tuent à l’exception de Pierre et Peter qui se sont enfuis vers Paris.

Un mois plus tard, on entend parler d’eux dans tous les journaux : « Les deux alsaciens qui ont survécu à une attaque allemande Â».

Après leur aventure, Peter et Pierre sont retourné sur leur terre natale et disent « nom d’une choucroute, c’est le no man’s land Â».

 

A.

bottom of page